LA CIUDAD BLANCA, O LA CIUDAD DE LOS BLANCOS (GRINGOS !)

Après un mois sans bouger de Cochabamba, des fourmis plein les jambes, direction le sud, direction SUCRE, capitale constitutionnelle du pays, dite la plus belle ville de Bolivie, la ville où fut déclarée l’indépendance, le cœur symbolique de notre nation d’accueil ! C’est une ville blanche, à l’architecture coloniale préservée grâce à un contrôle stricte de son développement. Elle est inscrite au patrimoine de l’mondiale de l’Unesco depuis 1991. Direction le Terminal de bus de Cochabamba ! Un lieu que l’on n’a pas encore et vu, et on ne va pas être déçu !! Ça grouille, ça bouge, ça cri, et on est vite attaqués par les représentant des compagnies de bus (une vingtaine, sans exagérer…) qui hurle les destinations proposées. Comme on s’y prend un peu tard (une heure avant le dernier bus pour Sucre) y a plus de place ! Mais bon, on est décidés ! Direction Potosi, étape intermédiaire avant Sucre ! Et nous voilà à 21h30 dans un bus « semi-cama », prêt à affronter ses soit disant 9h de bus, qui se transformeront en 10h30 ! Mais bon, c’est la Bolivie, on s’y est habitués ! Arrivé à Potosi, aucun problème pour trouver un second bus, direction Sucre !

Les touristes de retour...

Arrivée à Sucre, 12h, à l’hôtel, 13h (ouais, théoriquement le centre est à 15min du terminal de bus, mais y avait un peu de monde sur la route ^^). On à faim, on en à plein les jambes, et on est un peu claqué ! Le bus c’est économique mais bon, pas évident de dormir quand toutes les 5min, tu te retrouves face à un autre bus sur la route ! Les chauffards sont un peu timbrés dans ce pays ! Direction la pizzeria en face de l’hôtel (au top cet hôtel d’ailleurs !), la meilleure de la ville, et vraiment, c’est bon ! Nous voilà déjà un peu plus en forme ! 15h, premier tour dans la ville, sous un ciel menaçant, mais on est là pour en profiter ! On oublie très vite les premières impressions de « déceptions » à la vue de la périphérie (en mode bidonvilles à la Bolivienne, ça on connaît déjà) de la ville à l’arrivée en bus. Le centre historique est vraiment bien préservé, et sous ses nuages gris, le blanc éblouie ! Mais bon, deux-trois gouttes auront raison de notre envie de marcher (et on est vraiment fracassés) direction l’hôtel pour une petite sieste ! 19h (petite la sieste…), direction le marché ! La Bolivie brille par ses marchés, et Sucre n’échappe pas à la tradition ! Le plus ici, les stands de jus de fruits frais ! C’est fou, c’est bon, et sa nourrie ! Un régal et plein de vitamines ! Petit restO, tours de nuit, et bonne nuit de sommeil ! Blandine nous a concocté un joli programme de visite pour le lendemain !

Réveil (hyper)-tôt ! (environ 8h, soit c’est la motivation, soit la lumière du jour dans la chambre, les boliviens ne connaissent pas les volets, ni les rideaux épais, et posent des fenêtres sur toutes leur portes…). Direction la casa de la Libertad, la fameuse maison ou fut signée la déclaration d’indépendance par Simon Bolivar(Le 6 Aout 1825), qui donnera son nom au pays. Le véritable cœur de la Bolivie bat ici ! (historiquement…). Après avoir réglé (payé) le droit de prendre des photos, nous voici au cœur de la visite, la pièce ou se déroula le premier congrès bolivien. Pièce garnie de statue de Simon, de différents grands de l’époque, de multiples tableaux, de multiples tenues qui ornent les murs. Un beau plafond atresonado (en bois marqueté, merci le guide…) donne une dimension folle à la pièce. Assis sur les sièges, on s’y croirait ! Il y a même le portrait le plus ressemblant de Simon a(d’après lui) ! Impressionnant ! La cour de la Casa est belle et grande, toute de blanche vêtue, un régal pour les yeux ! Les autres pièces du musée montre et raconte l’histoire de la guerre d’indépendance et de ses combats principaux. La Bolivie aurait profité de l’attaque française et de la volonté conquérante de Napoléon, affaiblissant l’Espagne, pour forcer son destin. (Associée à la Révolution française et son engouement, vous obtenez quasi toutes les indépendances d’Amérique du Sud, Merci qui ?? humour…). Ensuite, direction la plus ancienne et la plus typique des « Choricerias » (chorizo) de la ville pour un bon repas ! Bon, elle a changé de propriétaire, et comme il vient d’ouvrir, pour l’instant, il ne propose qu’un « almuerzo » (repas familiale, une soupe, un second et un désert pour un prix vraiment bas…) qui finalement sera super bon ! L’après-midi, direction les toits du couvent San Felipe Neri, où l’on peut avoir une vue folle de la cité. Encore une fois, la réputation de Sucre est au rendez-vous, et une bonne heure passées sur ces toits, à faire les touristes (mais on n’est pas les seuls…), pleins de photos plus belles les unes que les autres, sous un soleil de plombs… C’est au top !!!

Le soir petit restO (on est en vacances non ? ^^) et une encore une bonne nuit de sommeil !

Le dimanche matin, direction Tarabuco et son marché réputé à travers le monde pour ses tissus indigènes exceptionnels ! C’est là qu’on a compris le nom caché de cette ville : la Ville des Blancs ! On avait déjà été marqué par la présence en grands nombre de « gringos », mais là… Nous voici embarqués dans un bus, ou le seul espagnol parlé est celui de quelques espagnoles… sinon, Allemand, Anglais, Italiens, Américains (las « vrais gringos ») et autres… Un bus de blanc ! Même la personne charge de nous récupérer à l’arrivée (1h30 de bus, pour 65km…) parle anglais, et ne veut parer qu’anglais ! Le marché s’étend sur tout le village, et propose un nombres de stands impressionnant ! Malheureusement, sa réputation à fait augmenter les prix et on y trouve désormais à peu près tous les produits « attrape touristes » (et franchement ça marche vraiment bien ^^) que l’on peut trouver un peu partout en Bolivie… Cependant, on peut quand même mettre la main sur des « vrais » produits en Alpaca !! Bref, deux petites heures seuls au milieu de ce marché nous auront permis de remplir notre panier à souvenirs ! (Mais oui, on vous en ramène, c’est promis !). Ensuite retour au point de ralliement des « pinguins » (dixit Blandine) ou l’on aura droit à une petite démonstration de danse locale.

Le dimanche aprème, vous le savez déjà, c’est mort en Bolivie ! Direction un petit bar/resto/café qui domine la place centrale pour une petite aprème de Yams (on est vraiment des champions à l’heure qui l’est), autour d’un bon petit encas, un capuccino et au finale une bière locale ! (ou presque, mais bon, ça reste de la bolivienne !). Le soir, c’est restO, dans une galerie d’art, ça en jette ! Lundi matin, on cherchera longtemps le musée du textile indigène (fermé), pour finalement arrivé dans le magasin du textile indigène, où l’on pourra admirer en direct le travail d’une indienne en train de tisser une pièce de collection. Un travail de patience, de savoir-faire et de volonté ! Elle prendra même un peu de temps pour nous expliquer et nous proposer d’apprendre ! Ensuite, un petit tour sur les hauteurs de la ville, un passage (obligé) par une chocolaterie (Sucre, capitale du chocolat en Bolivie, mais ça, c’est compliqué de vous en ramener, et pourtant, c’est vraiment trop bon !), et nous voici de nouveau dans un bus, direct pour Cochabamba, 12h ! Arrivée à 5h dans notre nouveau chez-nous (rapidement des photos !) et bien heureux de ce weekend merveilleux !!!

Pleins de Besós à vous tous !!!! Bland&Stan

On se s·arrête plus ! Après ce weekend à Sucre (encore une fois, vraiment cool) direction Copacabana, et le Pérou pour réinitialiser mon Visa, et celui de notre ami Beto !

 Après les 30h de cars du weekend derniers, on choisit l’avion cette fois-ci ! Direction La Paz, en avion donc ce vendredi à 12h ! 30min de vol, 15 de taxi et nous voilà déjà ticket de bus en main pour Copacabana ! Tour très restreint dans la Paz (deux rues…) pour trouver un petit stand de maté de Coca pour s’habituer à l’altitude ! Franchement, ça marche !

Et hop, dans le bus ! 3h30 pour rallier Copa, après un petit passage sur le lac en barque ! On n’a pas le temps de tergiverser, il nous faut passer la frontière ce soir !!! Il est 18h30, elle ferme à 20h. Heureusement, 15min de taxi, deux coups de tampons, un peu de change et nous voilà au Péru !!! Exactement à Yunguyo ! Franchement, ce n’est pas beau ! Arrivée de nuit, dans une ville morte, assez triste et que des hôtels horrible et hors de prix… Mais bon, on est là pour une nuit ! Un poulet avalé, une petite bière de Cusco, un match du Péru (football) et là, le village s’éveille et se met à danser en l’honneur de son saint Patron (vont s’en suivre trois jours de fiestas et d’ivresse publique…). Par contre, le truck, c’est qu’il fait vraiment froid, et qu’il pleut ! Direction l’hôtel, et une nuit de soleil glaciale ! Le lendemain, à la recherche d’un petit déjeuner autre que Poulet café proposé, on découvre la ville sous un nouvel œil ! Finalement, c’est pas si « moche » que ça, mais bon, on y passera pas une vie ! Direction la frontière…

 Et là, bah ce n’est pas passé ! D’après l’embrassade de Bolivie en France, contacté avant le départ, sortir du territoire et rerentrer offre de nouveaux 90j ! D’après de nombreux témoignages et d’essais, c’est vrai ! Or là, impossible ! Il parait qu’on peut gentiment graisser la patte du douanier, tu m’étonne, en Bolivie c’est apparemment chose courante. Mais là, et bah non, on est tombé sur le seul douanier intègre de Bolivie… (Son copain à coté, bah c’était pas la même, dommage…). Donc, bah voyage au Pérou inutile pour moi (donc à cette heure-ci, il me reste jusqu’à mardi pour faire un changement de Visa à la Migracion de Cochabamba, j’espéré obtenir trois mois de plus pour ça, mais bon, on fera avec !…) et Beto ne pourra pas finir son semestre en entier. (Heureusement, pour Blandine tout est bon !!!!!). Sinon, impossible de joindre l’ambassade de France en Bolivie ni de Bolivie en France un samedi, pratique ! Heureusement le douanier intègre est sympa et nous explique que tout va aller et nous dit quoi faire. Séjour inutile au Pérou !

(A l’heure où j’écris cet article, on est lundi 18h, je récupère des documents qui prouvent que je suis bénévole dans une assO demain, et Véro, la directrice du Caiic m’accompagne pour faire les papiers et tenter de négocier un visa de courtoisie (sans payer…). Ca annonce un bon mardi tout ça, mais on va y arriver !)

Bon allez ce n’est pas grave, on se détend, et on va disfrutar de Copa ! Direct on trouve un hotel, au top et vraiment bon marché, avec chambre qui donne sur le lac ! Un bon petit restO et nous voilà le sourire aux lèvres. Direction la plage (à la Bolivienne, mais surtout, l’unique !!!) de Copa ! Beto propose un tour de pédalo pour nous maintenir en forme ! Et nous voilà, posé au « milieu » du lac Titicaca, en pédalo !  Une bonne partie de rigolade (surtout pour moi qui ne pédale pas) et de belles photos ! Petite partie de babyfoot (toujours à la Bolivienne) et une bonne raclée pour les français… Rien à dire, dès qu’on parle de foot, l’argentin maitrise…On est au top ! Passage par l’hôtel pour une petite sieste (oui, oui, le pédalo ça fatigue… enfin pas moi ^^) et une virée pour découvrire la fiesta de Copa ! Une rue, 5 bars ! On se retrouve devant la retransmission du match France – Angleterre et on commence à vibrer devant cette première mi-temps impressionnante des tricolores ! Beto et Blandine vont voir le score sur un autre écran… ce n’était pas du direct ! haha ! Bref, le suspens, pour moi, restera en entier, jusqu'à qu’un bolivien (joyeux) entre dans le bar, nous voit et nous félicite pour la victoire ! (aaaaaaaaaaaaah !). Direction un second, ou l’on jouera au DOS (ici, c’est pas le UNO !) et encore de grands sourires ! Le lendemain, on fera le marché (pour changer… mais c’est tellement beau, grand, on voudrait tout acheter ! … surtout un hamac pour la terrasse (Stan) ! Et beaucoup de déco pour l’appart !!! (Bland) ^^) . Un passage devant la cathédrale, et le baptême des autos boliviennes (c’est du sérieux !) Une petite pizza devant Argentine/All blaks (redif, mais là on le savait…), on y aura cru un moment avec notre ami Beto, mais bon… 

Et puis de retour dans le bus (où  l’on va avoir terriblement l’impression de sortir de route à chaque virages, et y en avaient beaucoup, tellement le chauffeur est préssé…). Un coup de barque et nous voilà à la Paz, en une heure de moins qu’à l’aller… Affolant ! Un petit vol, et nous voilà de retour chez nous ! (le Chez nous est particulièrement bon, vous comprendrez à la lecture du prochain article sur le Pueblito, et le chez nous !) Un bon petit weekend à trois, vraiment cool, un peu taché par cette histoire de visa… Mais on en a bien profité !  

On repasse par Copa à la fin de notre trip des vacances, donc forcément, on écrira un article plus sur la ville à ce moment. Weekend prévu pour découvrir la Paz début Novembre, donc de même. Mais tout ce qu’on a vu, nous a plus !

Rapidement, articles sur les Visa, la Fac de Blandine, et sur notre nouveau chez nous ! Et sur notre pendaison de crémière (cf. proverbe breton) avec nos potes d’aventures, dont Lucas (Brazzzzziiiil) qui est là cette semaine !

D’ici là, comme toujours,

Besos a todos, et pleins de pensées pour vous !

Bland&Stan, tout bronzés !

Après deux mois à vivre dans 12m², à payer un loyer démesuré pour la Bolivie, et 60 jours de cohabitation avec une femme un peu trop matérialiste, nous avons donc décidé de partir à la recherche d’un appartement digne de ce nom. Après quelques coups de téléphone et une rencontre avec deux agents immobilier (à la bolivienne bien entendu, 2 heures de retard à chaque rendez-vous pris, un bureau dans la casa familial mais aussi et surtout le cœur sur la main) on visite quelques appartements, les premiers plutôt bien construits mais trop loin de l’université et encore plus loin de l’association de Stan et les seconds plutôt bien placé mais malheureusement sans fenêtre pour certains et des toits en tôles sur la cuisine pour d’autres.

Bref, après quelques petites déceptions, et la pression du temps, (on doit quitter le Pueblito avant le 30 septembre si nous ne voulons pas être obligé de payer le loyer du mois d’octobre) notre agent immobilier préféré dénommé Gaston nous propose la visite d’un appartement situé sur la PlazaCorazonistas, en plein centre de la ville. Le rendez-vous est donc pris mardi 27 septembre à 18h30 et après seulement 30 minutes de retard soit à 19h (au cas où vous ne sachiez pas comptez) nous rencontrons le propriétaire, Mr Saul Montano qui nous fait découvrir les lieux et là on doit bien l’avouer, le coup de cœur est immédiat, l’appartement est spacieux, bien éclairé et le must du must il y a une terrasse qui offre une vue superbe sur la ville et les palmiers, a peine le temps de se concerter que notre décision est prise : LO QUIEREMOS !

 Bien sûr, j’ai pris quelques habitudes boliviennes et j’essaye un peu de négocier le prix mais rien n’y fait le propriétaire nous dit qu’il a déjà baissé le loyer au maximum, tant pis, c’était bien essayer, de toute façon on savait déjà qu’on le prenait ! Et voilà après seulement 4 jours de recherches (sans trop se forcer il faut bien l’avouer) on a trouvé exactement ce qu’on voulait !

Le soir même nous rentrons au Pueblito, seul problème il faut annoncer à la Señora Virginia (la « charmante dame »qui nous loue la chambre pour ce qui ont suivi) que nous quittons les lieux le surlendemain et je dois bien l’avouer ça ne m’enchante pas vraiment. Malheureusement le mercredi passe et avec Stan qui est aussi vaillant que moi nous n’osons à aucun moment l’intercepter pour lui expliquer la situation mais voilà le soir arrive et on a plus vraiment le choix nous partons le jeudi matin, seul problème a 20heures la Señora est aux abonnées absentes, les heures passent, on commence à se dire que nous ne pourrons pas la prévenir à temps et que les ennuis vontarrivés mais heureusement à 23heures on l’entend enfin passer la porte ! Tandis que je reste tranquillement au chaud, Stan prend son courage à deux mains et sort de la chambre pour prévenir la Señora de notre départ du lendemain et à ce moment-là, c’est le drame ! Alors que j’attends tranquillement le retour de Stan j’entends que celle-ci se met à crier, je sors donc pour voir ce qui se passe et il s’avère que notre propriétaire est dans tous ces états, elle nous dit que nous sommes dans l’obligation de payer encore deux mois de loyer (bien sur ce n’est en aucun cas écris dans le contrat de location) et c’est donc dans un espagnol clair et limpide que je lui explique que nous ne payerons rien, elle nous a alors menacé de faire appel à ses avocats et de nous dénoncer à INTERPOL (carrément !!), il ne fallait pas en dire plus pour me mettre hors de moi et c’est donc un peu moins sereinement que je lui ai expliqué les raisons de notre départ, même Stan d’habitude pourtant si diplomate a eu du mal à garder son calme ! La conversation s’achèvera sur la Señora nous insultant en espagnol et là on doit bien avouer que nous n’avons pas tout compris, mais je pense qu’il fallait mieux !

Le lendemain nous sommes priés de quitter les lieux avant les 10 heures du matin mais miracle la Señora s’est calmée et juste avant notre départ elle nous intercepte pour vérifier que la chambre est en bonne état, tout est en ordre elle ne peut donc rien nous reprocher, et c’est sans embrassade que nous passons pour la dernière fois la porte du Pueblito situé au 1780 de la calle MariannoMelgarejo. Après s’être rendu au bureau des agents immobilier pour signer le contrat de location de notre nouvelle demeure nous investissons enfin les lieux mais juste pour quelques heures histoire de poser nos valises et de préparer nos sacs pour notre départ du soir même direction, Sucre !

Le plan de l appart

Le 4 octobre retour de voyage, on appelle le propriétaire afin qu’il nous livre le frigo et la bouteille de gaz qui arriveront le lendemain ! Il nous aura ensuite fallut deux semaines pour s’installer correctement, changer quelques meubles de place, s’habituer à notre nouvelle résidence et faire les achats nécessaires (et un peu moins nécessaire) à notre bonne installations (draps pour le lit, bouilloire pour le café, un peu de vaisselles, quelques déco et le petit bonus une table et des chaises pour la terrasse) !

Voilà je vous laisse apprécier les photos ! N’oubliez pas que tous ceux qui veulent venir sont les bienvenus (on a de la place maintenant) y

QUE LES VAYA BIEN !!!!!!!!!!

Bland et Stan

   Chambre d ami                                       Cuisine                                         Salle de bain

Le Salon                                                    Salle a manger                               Notre chambre

CALLE TUMUSLA nº145

COCHABAMBA

BOLIVIA

 ¡¡¡ C´est quand vous voulez !!!

Bonus... la terrasse et le hamac!!!!! On se met bien...

Comme on ne sait pas trop comment on recupere le courier, joindre nos numeros : 70 72 74 66 (portable) et 458 2453 (fixe).

Vous pouvez aussi nous appeler :)

besos a todos

Voilà, aujourd’hui cela fait quatre mois que nous sommes en Bolivie ! Autant vous dire que le temps passe beaucoup trop vite, et que même si vous nous manquez beaucoup, on vit pleinement cette fabuleuse aventure et tout ce qu’elle nous offre chaque jour! On a pour l’instant vu  seulement une infime partie de ce que cette culture a à nous offrir et déjà nous voici boliviens de cœur. Chaque journée nous montre à qu’elle point le peuple bolivien est généreux et ouvert au partage de ses valeurs et ses coutumes. La vie ici est une réelle découverte et nous en sommes plus qu’heureux. La vie dans notre nouvel environnement nous satisfait pleinement ! L’été approche à grand pas, le soleil commence à vraiment chauffer l’atmosphère, et nous permet déjà de profiter pleinement de notre terrasse !

Après le départ définitif de notre brésilien préféré, Lucacito, c’est l’heure de faire nos adieux à notre Betito, notre argentin, qui après un semestre à Cochabamba s’en va retrouver sa terre ! On aura passé quatre mois avec ces deux personnes, qui nous auront appris beaucoup sur la culture sud-américaine, on aura partagé beaucoup de bons moments, appris el castelano d’ici, et vraiment, ils nous manquerons… Le rendez-vous est pris à Recife en 2014 pour la CopadelMundo, et à Mendoza début janvier pour quelques jours de découverte et de fête argentinoise ! Amigos, que le vaya bien !

Betito, avant de partir, à voulut s’investir dans la cause du CAICC, et a proposé d’organiser unaParillada ( pièces de viandes en grillade, un barbec’ quoi !) pour les ninos (et les grands !). Après une belle aprème de football et de basketball sous un soleil et une chaleur étouffante, tout le monde s’est réuni autour du chef cuisto argentin et ses assistantes (Aline, une volontaire allemande, et Blandine) et des Chorizos ! Un grand moment de partage dans la joie et la bonne humeur ! Le sourire des enfants et des éducatrices parle d’eux même sur les photos ! On vous laisse regarder les photos de ce grand moment !!

Donc voilà, après quatre mois avec eux, ils s’en vont rejoindre leurs couleurs, le cœur rempli de cet immense pays qu’est la Bolivie ! Pour nous, pas le temps de se laisser aller à la nostalgie ! Grande préparation de notre voyage des vacances d’été (Décembre/Février)! Direction le Chili et le Péru ! Deux mois de découvertes en perspectives, à en prendre plein les yeux ! Une randonnée équestre de deux jours dans le sud de la Bolivie (Tupiza), du sandboard (snowboard dans le sable) dans le désert d’Atacama au nord du Chili, Santiago pour Noël, quelques jours à Mendoza chez notre Betito en Argentine, et la découverte du Pacifique à Valparaiso pour le nouvel an. S’en suivront 21 jours le long de la cote, la découverte des plus belles plages  jusqu’à Limas, puis  Cuzco et l’immanquable Machupichu, et un passage par le lac Titicaca avant de retrouver Cocha pour la deuxième partie de l’année ! On a hâte de voir la mer, et promis, quand on bronzera sur les plages, on pensera à vous et à la neige !

Sinon, en ce qui concerne mon visa, j’avance beaucoup, un immense MERCI à Emilie qui m’a donné les bonnes infos pour cela ! J’espère boucler ce dossier d’ici la fin Novembre début décembre et partir soulagé de ce poids ! Promis, je vous tiendrai au courant de l’avancement ! Sinon Blandine peut de nouveau aller au CAICC, et elle se fait sa place tranquillement, ce qui n’est pas toujours facile et ce qui demande du temps ! Notre espagnol a vraiment progressé, et aujourd’hui le Boliviano (oui, oui, c’est une idioma à part !) n’a plus beaucoup de secret pour nous !! (Et on peut vous assurez que ce n’est pas toujours évident de comprendre les palabras utilisés ici !)

En attendant de vous conter la suite de notre aventure, et en vous espérant toujours aussi nombreux à nous lire, on vous souhaite un bon mois de Novembre, on vous laisse, le hamac sous le soleil nous appelle pour une petite sieste ! Promis, on pense à vous, en espérant que tout va bien de votre côté ! On vous attend ici !!!!!

Bland&Stan, déjà tout bronzés !

Besos à Todos !

PS : à venir, une petite vidéo de notre appart !

Voila l ultime article de l annee 2011, avec photos du noel au CAICC, encore un grand moment de bonheur et de partage...

Sinon, grand depart pour notre Tripp dimanche a 7h heure bolivienne ne l oublions pas, et arrivee le soir sur les coups de 20h au Chili, on a vraiment hate!!

direction les plus belles plages du Pacifique entre Santiago et Lima, avec un petit detour de fiestas chez notre argentin prefere betito, a Mendoza

Beuacoup de belles choses que l on esseyera de partager sur ce blog pendant le voyage... si on a le temps ^^

D ici la, on vous souhaite une exellente fin d annee, de belles fete, et un debut d annee 2012 comme il se doit!

On vous embrasse, profitez a fond...

¡¡Que les vaya bien!!

Besos a todos,

Bland et Stan

Complique de penser "NoËl" au soleil...

Et le voilà enfin le fameux article sur  la faculté Bolivienne.

Apres un semestre en la Universidad Catolica Boliviana San Pablo Cochabamba (si ce n’est pas un nom à couper au couteau ça !)  je peux enfin vous raconter ces quelques mois de péripéties et bien plus encore !

Comme vous le savez depuis longtemps, oh vous lecteur passionné de notre vie, nous sommes arrivés à Cochabamba le 14 Juillet 2011 et c’est seulement deux jours après que nous décidons d’aller jeter un premier coup d’œil à cette fameuse faculté, le temps me pressait un peu étant donné que la date de la rentrée des classes étaient fixé au 1 er aout.

Je sais que derrière votre petit écran vous êtes en train de vous dire que deux semaines c’est largement suffisant pour régler les problèmes administratifs mais je dois bien vous dire que de ce côté-ci de l’océan, 2 semaines c’est relativement cours.

Me voilà donc devant le portail de l’université (après une bonne heure de marche, on a pas encore vraiment compris le système des transports urbains cochabambinos) en train d’essayer de faire du charme au portier/policier mais il faut bien l’avouer qu’avec ma tenue que je portais depuis 4 jours et les cheveux qui n’avaient pas encore eu la chance de se faire savonner (rappeler vous nos bagages étaient sagement  restés  à Buenos Aires pour manque de personnel, « Bienvenue =) » ) il a fallu un peu de temps avant que le « gentil monsieur »  de l’entrée nous laisse pénétrer dans l’enceinte de la Catolica.

Enfin bref, nous voilà  devant le bureau «INFORMACIONES » censé accueillir les nouveaux élèves ainsi que les étrangers mais  lorsque je me présente au bureau je suis comme un gros paquet surprise avec un bel accent français et voilà que l’on me pose une première question : Mais qui es-tu ? Plutôt rassurant comme question non lorsque l’on arrive dans un pays inconnu pour y faire ses études !

Peu importe, je passe au travers et je tente d’expliquer ma situation, la personne en face de moi finira par appeler l’université catholique de La Paz où se trouve la personne en charge de mon dossier  qui réussira mieux que moi à éclaircir mon cas mais voilà il se trouve que tout ce que j’avais fait en France n’a servi à rien et que donc le choix de mes matières  n’a pas été validé à Cochabamba, le pompon non ? En ce qui concerne les transferts d’informations ici ils sont loin d’être au point.

Apres ce coup de téléphone qui confirme bien que je serais élève ici pendant un an, le directeur des informations me demande de ramener tout un tas de papier ainsi qu’un examen médical pour confirmer que je ne suis pas porteuse du VIH ou autre MST et j’ai beau lui expliquer que j’ai déjà fait tout ça en France il m’explique gentiment que la Bolivie veut des preuves boliviennes et là c’est la grosse marrade qui commence !

Une  heure après je quitte donc l’université un peu déconcertée et dans l’obligation de me lancer dans un nouveau « ptit bordel » de recherche et d’examens, j’ai rendez-vous la semaine d’après pour lui donner tout ce qu’il m’a demandé. Top Cool !

Il me faudra deux semaines pour obtenir mes résultats médicaux et une semaine de plus pour être officiellement inscrite en tant qu’étudiante soit au total trois semaines pour finaliser toute la paperasse !Bienvenido a Boliva !!!

Après tout cela mon semestre s’est déroulé plus ou moins paisiblement. Malgré des profs compréhensibles l’ingénierie environnementale n’a strictement rien à voir avec l’aménagement du territoire ce qui par conséquent ne pas beaucoup aider à me motiver pour aller en cours !

Les étudiants boliviens sont adorables et chaleureux mais il est difficile de rentrer dans leur « cercle ». Mes relations avec eux ne se sont pas développées en dehors de l’enceinte de l’université mais cela ne m’a pas empêché de faire de belles rencontres éphémères !

Je finirais cet article en vous disant que malgré ma présence en cours qui s’est faite de plus en plus rare au cours des différents mois, j’ai tout de même validé mon semestre et qui plus est avec une moyenne relativement correcte !

« Quelqu’un en veut ?? »

Ah oui dernier petit mot, je suis actuellement en train de tenter de m’inscrire au deuxième semestre et ce n’est pas gagné, la suite au prochain épisode !!

On enchaine...

EL GRAN VISA!!!  

 Après l’article sur la Fac  posté avec un peu de retard voila celui sur le visa et je peux vous l’assurer, il n’en sera pas moins hilarant !! Aux environs de mi aout, après être enfin correctement inscrite à l’université,  je décide de me rendre à la migration de Cochabamba pour entamer les démarches pour l’obtention de mon visa.Avant de quitter ma France natale et de me rendre dans ma Bolivie adoptive j’avais obtenu par l’ambassade de Bolivie en France un visa de 60 jours ce qui me laissait donc un mois pour obtenir mon droit de séjour. Quel doux rêve…

  Je me rends donc au bureau de la migration et fait connaître ma situation de « estudiante en intercambio » au gros policier bolivien qui s’occupe de l’accueil.5 minutes plus tard me voila sortie avec une immense feuille (ici il ne connaisse pas le format A4) sur laquelle sont indiquées toutes les procédures et je peux vous assurer qu’il y en avait beaucoup ! 150 euros de dépenses plus ou moins légal et 3 semaines plus tard après des allers retours en bus, en taxi et à pieds, des heures d’attentes dans les bureaux d’Interpol, de la force de lutte contre le crime (sait-on jamais !) et de la chancellerie mon dossier est enfin complet ! A ce moment là, il ne me restait plus qu’a le déposer à la migration et je devais enfin obtenir mon visa d’étudiant pour un an !

Mais cela aurait été trop beau, les complications étaient loin d’être terminées. Alors que je me réjouissais à l’idée d’avoir enfin réussi à réunir tous les documents nécessaires, je reçois un appel de Jessica (qui est en charge de moi à l’université catholique) qui  m’annonce que tout ce que j’ai fait (et payé) jusqu’ici est inutile et qu’elle m’attend dans son bureau pour m’expliquer « Pourquoi ?? » ! Après deux mois d’attente, Jessica avait enfin reçu un fameux papier de La Paz qui était  censé m’éviter autant de démarches et de couts inutiles. Mais voila elle ne m’avait pas tenu au courant de ce papier (tout simplement parce que elle-même n’était pas au courant) et toutes les démarches, je les avais déjà faites !NB : Avec le papier de la Paz seulement 4 documents importants étaient nécessaires tandis qu’avec le papier de la migration c’est une douzaine de documents qui étaient requis, enjoy ! « Légèrement » remontée je lui explique tout ce que j’ai du payer  et le temps qu’il m’a fallut pour réussir à obtenir tous les documents nécessaires.Bien que réellement désolé pour moi elle m’explique qu’il faut suivre la procédure envoyée par La Paz pour que le prochain étudiant qui viendra en échange à la Catolica de Cochabamba n’est justement pas à faire tout ce que j’ai dû faire.

 Pour faire simple, je suis l’élève cobaye car aucun autre étudiant en échange n’était venu avant moi ! Entre  le bordel pour m’inscrire a la fac, la fait d’être obliger de me battre pour obtenir le papier de ma bourse qu’ils n’ont pas voulu signer et qu’ils ont envoyé à La Paz (pour s’assurer  que ce n’était pas un papier pour leur soutirer de l’argent) et maintenant cette histoire de visa je dois bien avouer que j’étais aux bords de la crise de nerfs pour ne pas dire que je pétais complètement les plombs ! Mais voilà c’est la Bolivie et j’apprends un peu plus chaque jour le sens du mot PATIENCE. 

 Jessica me fixe donc un rendez-vous la semaine d’après pour qu’on se rende toutes les deux à la migration (accompagné d’une bolivienne pure souche les démarches sont souvent plus rapides et plus efficaces).On se retrouve donc un jeudi aux environs de la mi-septembre (je ne me souviens plus des dates exactes) pour déposer mon dossier  mais évidemment ici, à la migration de Cochabamba ils n’ont jamais entendu parler de cette forme de démarche !Heureusement après un bon coup de gueule (pour changer) la responsable de la migration de Cochabamba prend mon cas en charge et se décide enfin à téléphoner elle même à La Paz pour que le bureau de la migration de la capitale  confirme la validité de mon dossier. Je pensais que la France était un pays particulièrement centralisé mais à côté de la Bolivie c’est un Etat fédéral.Enfin bref je crie Alléluia, j’ai enfin pu déposer ma demande de visa « seulement » un mois après avoir entamer les démarches!!!! Dans deux semaines (fin septembre) j’ai de nouveau rendez-vous à la migration pour récupérer mon passeport !Me voila donc 15 jours plus tard devant le bureau qui s’occupe de délivrer les fameux visas et là surprise (ou pas) il s’avère que mon dossier présente un problème !

Le nom de jeune fille de ma mère n’apparaissant pas sur mon visa il ne fallait pas le noter sur le formulaire mais bien sur ceci n’était pas préciser ; j’ai donc rempli la case au dessus de laquelle il était inscrit : « appelido materno », Grosse Erreur !!Après la rédaction d’une lettre expliquant que, effectivement le nom de jeune fille de ma mère n’apparaissait pas sur mon passeport et que j’étais au courant de mon erreur, je redépose de nouveau mon dossier et mon passeport que je pourrais venir récupérer d’ici 4 ou 5 jours  avec enfin (si tout se passe bien) mon visa de « estudiante de intercambio » !

 Une semaine plus tard, complètement stressée par ce qu’ils allaient encore m’annoncer c’est le ventre noué que je rentrais dans le local de la migration (oui j’ai bien dis un local) et là…. 

 OH MIRACLE, mon passeport avec MON VISA à l’intérieur m’attendaient sagement sur le bureau numéro 4 !Nous sommes début octobre mais JE L’AI !!!!!!JE L’AI !!!!  2 mois se sont écoulés depuis le début de mes démarches et après quelques coups de gueules, quelques crises d’hystéries et de nombreux pétages de plomb, je suis enfin en toute légalité sur le territoire bolivien et reconnue comme étudiante française en échange à Cochabamba !!!!ALLELUIAH ALLELUIAH !!!!!!!! 

 Ps : après l’obtention de mon visa on me parle d’une certaine « carte d’étranger ». Cette dernière est suspendue pour le moment mais que je dois absolument la faire dès quelle sera remise en place.Je ne m’en suis donc pas préoccupée avant un bon moment, encore une fois Grosse Erreur que je suis en train de payer (dans les deux sens) actuellement ! 

 Prochain épisode : L’administration et le bureau de la migration particulièrement chaotiques de Cochabamba (encore une fois) !

De retour en Bolivie, pour mieux vous raconter ce grand voyage en Amérique du sud

Tout d’abord, BONNE ANNEE 2012 à tous ! Décalage horaire oblige, on est en retard, on est boliviens !

Et voilà, après 46 jours de voyage et de découvertes, du 18 Décembre 2011 au 1^er Février 2012, après plus de 9000Km parcourus en (plus ou moins) 180h de bus (soit  7 jours et demi a 50KM/h), 4 pays  14 villes et 10 plages du Pacifique, une des 7 Merveille du Monde, plus de 2500 photos, nous sommes de retour dans notre pays d’adoption, la Bolivie !

Chili, Argentine, Pérou et Bolivie, ça en fait des choses à raconter !

 Du sandboard dans le désert d’Atacama, Noël 2011 dans le bus, des matés, de la viande et du football , UN accent  Argentin, le 31 Décembre à Valpa raíso, LES plages du Pacifique, l’incroyable accueil des Chiliens et  leur langue bien à eux, de Lima,  Cuzco et ses marché artisanaux  jusqu'à Aguas Calientes et le célèbre Machupichu,  la découverte des notes de Bland et  sa réussite à son premier semestre (Ca, c’est bon !), et enfin le Lac Titicaca, le retour en Bolivie et Copacabana. Nous en avons pris pleins les yeux ! (C’était une longue phrase, je l’avoue, merci d’être allé jusqu’au bout !!). Tant de découvertes culturelles, de belles rencontres, de choses folles, et surtout une prise de conscience  sur ce que l’on vit en Bolivie, pays tellement à part, on a des milliers de mots à écrire !!!!

On va faire de notre mieux pour raconter tout ça ici,  essayer de partager avec vous le plus de choses possibles, et toutes les impressions qui ont marqué notre voyage !!!

Pleins d’articles, pleins de photos et pleins d’histoires sur notre grand road trip de cet été 2011/2012 !

On en profite, dans cette introduction, pour glisser un immense merci, (encore plus grand qu’ils ne l’imaginent), à tous ceux qui nous ont permis de vivre cette folle aventure !

On espère pouvoir leur rendre à travers tous ces articles et ces photos!! 

 En attendant de poser les premières lignes de cette si grande aventure, et en espérant que vous serez toujours aussi nombreux à nous suivre, on vous fait un montón de besos y un enorme abrazo!

Bland et Stan 

On pose quelques photos ici pour vous mettre l’eau à la bouche ! Disfrutan!!!!!

180h de bus, une petite photo forcement!!

EN CONSTRUCITON ////  14 Articles et 39 montages photos \\ EN CONSRTUCTION

Aux nouvelles!!!!!! tout va au top pour nous! apres 10j de remise en route a la bolivienne, on a passé 10 jours avec les parents de Blandine!

5 Dans le Salar de Uyuni et le sud de la Bolivie (C´était fou et trés typique!!) et le reste pour découvrire Cocha! Bientôt les photos!!!!!

Bon, ENFIN....

LE VOYAGE !!!!!!!!

Bon, pour l´instan c est que les photos, les articles viendront dans la foulée!